Quel malheur ! Ca me désole :
On vient de fermer l’école !
On a tout cadenassé !
Que je suis bouleversé !
Au soleil ou sous la pluie,
Mon Dieu, que cela m’ennuie !
J’ai beau rire et m’amuser ;
J’en ai le coeur brisé.
Quand finiront les vacances,
Si j’ai survécu par chance,
Epuisé de tant souffrir,
C’est moi qui viendrai rouvrir.
Istvan CSUKAS
Poème de Hongrie traduite par Jean-Luc Moreau.